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Durant les eighties, un courant musical français plus ou moins apparenté à la new wave vit le jour, touching pop était son nom, des groupes comme Mary Goes Round, Little Nemo ou Babel 17 peuvent s'y rattacher. Tout comme Asylum Party à sa manière et son côté cold. " Borderline " est un album riche en émotions variées que l'on découvre au fur et à mesure de l'écoute. Une évolution dans la mélancolie, à la recherche de l'espoir, " Je ne crois plus au destin ; il ne me reste qu'un seul train " - extrait de " La tourmente ". Des titres tels " Play alone " ou " The Sabbath " s'écoutent religieusement, et pourtant invitent à la danse. Après avoir sorti un premier E.P. 6 titres, " Picture one " chanté en anglais, Asylum Party s'essai au français sur " Borderline ", à savoir pour " La nuit " et sur " La tourmente ". Le groupe fera la même chose, et avec merveille, pour l'album " Mère ". Ce groupe " pop cold " se montrera aussi brillant en studio que sur scène, gardant toujours une touche de mélancolie qui leur allait comme un gant.
Stendhal
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